« Allée Morvan Lebesque » : différence entre les versions

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Durant l'occupation, il est le premier directeur de l'hebdomadaire autonomiste, antisémite, pro-allemand et antivichyste  ''L'Heure bretonne'', <ref>[[L'Heure bretonne]]</ref> puis collabore à diverses revues à Paris où il rencontre et se lie d'amitié avec Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir. Il entre ainsi à ''Je suis partout'' où il rédige des critiques artistiques.  
Durant l'occupation, il est le premier directeur de l'hebdomadaire autonomiste, antisémite, pro-allemand et antivichyste  ''L'Heure bretonne'', <ref>[[L'Heure bretonne]]</ref> puis collabore à diverses revues à Paris où il rencontre et se lie d'amitié avec Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir. Il entre ainsi à ''Je suis partout'' où il rédige des critiques artistiques.  


Il publie aux éditions Robert Laffont en 1947 son premier roman, ''Soldats sans espoir'' sur le thème de la débâcle de 1940, qui remporte le prix du cercle critique.  il entre en 1952 au ''Canard enchaîné'', où il est l'un des auteurs les plus appréciés  et participe à partir de 1966 à la revue ''Ar Vro''. Il devient de plus en plus hostile à l'État français, qu'il perçoit comme  liberticide et allié du capitalisme. Il exprime sa défiance envers la démocratie  et le parlementarisme. Il écrit  une quarantaine d'articles sur la guerre d'Algérie, niant la mission civilisatrice de la France dans ce pays, et critiquant  les attentats du FLN et la torture côté français.
Il publie aux éditions Robert Laffont en 1947 son premier roman, ''Soldats sans espoir'' sur le thème de la débâcle de 1940, qui remporte le prix du Cercle critique.  Il entre en 1952 au ''Canard enchaîné'', où il est l'un des auteurs les plus appréciés  et participe à partir de 1966 à la revue ''Ar Vro''. Il devient de plus en plus hostile à l'État français, qu'il perçoit comme  liberticide et allié du capitalisme. Il exprime sa défiance envers la démocratie  et le parlementarisme. Il écrit  une quarantaine d'articles sur la guerre d'Algérie, niant la mission civilisatrice de la France dans cette région, et critiquant  les attentats du FLN et la torture côté français.


Il vit Mai 68 avec espoir, défend Daniel Cohn-Bendit attaqué dans ''L'Humanité'',  participe à des  meetings contre le pouvoir gaulliste, et y voit une ouverture possible pour le mouvement breton avec lequel il renoue et contribue à la revue ''Ar Vro'' avec Xavier Grall et Gwenc'hlan Le Scouëzec. Il aide financièrement le journal satirique ''La Nation bretonne'' lancé par  Glenmor, Grall et Guel. Il signe une tribune au  ''Peuple breton'', organe de l'U.D.B.
Il vit Mai 68 avec espoir, défend Daniel Cohn-Bendit attaqué dans ''L'Humanité'',  participe à des  meetings contre le pouvoir gaulliste, et y voit une ouverture possible pour le mouvement breton avec lequel il renoue et contribue à la revue ''Ar Vro'' avec Xavier Grall et Gwenc'hlan Le Scouëzec. Il aide financièrement le journal satirique ''La Nation bretonne'' lancé par  Glenmor, Grall et Guel. Il signe une tribune au  ''Peuple breton'', organe de l'U.D.B.
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