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La '''rue Frédéric Cournet''' est située entre la [[rue Eugène Pottier]] et la [[rue Nathalie Lemel]], voie ainsi dénommée en séance du conseil municipal du 7 février [[1983]]. | La '''rue Frédéric Cournet''' est située entre la [[rue Eugène Pottier]] et la [[rue Nathalie Lemel]], voie ainsi dénommée en séance du conseil municipal du 7 février [[1983]]. | ||
== Frédéric Cournet<ref>Source : ''[[Les gens de chez nous]] : notice biographique des personnages qui ont donné leur nom aux rues de Cleunay'', [[Bernard Fournier]],[http://sbib.si.leschampslibres.fr/search~S1*frf/?searchtype=t&searcharg=les+gens+de+chez+nous&searchscope=1&SORT=D&extended=0&SUBMIT=Chercher&searchlimits=&searchorigarg=aBernard+Fournier]</ref>== | == Frédéric Cournet<ref>Source : ''[[Les gens de chez nous]] : notice biographique des personnages qui ont donné leur nom aux rues de Cleunay'', [[Bernard Fournier]],[http://sbib.si.leschampslibres.fr/search~S1*frf/?searchtype=t&searcharg=les+gens+de+chez+nous&searchscope=1&SORT=D&extended=0&SUBMIT=Chercher&searchlimits=&searchorigarg=aBernard+Fournier]</ref>== | ||
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En [[1871]], il est élu député de la Seine à l'assemblée qui siège à Bordeaux, il s'y place à l’extrême gauche. il est élu membre de la commune, le 26 mars [[1871]]. Après la chute de la commune, il part en Angleterre, puis en Suisse. Pendant son séjour en Angleterre, il est délégué au congrès de l’internationale de la Haye ([[1872]]). Par la suite bien que condamné à mort, il bénéficie de l'amnistie générale du 21 juin [[1880]], puis rentre en France. Il collabore au journal «Ni dieu, ni maître » et dirige le journal socialiste de Lyon. | En [[1871]], il est élu député de la Seine à l'assemblée qui siège à Bordeaux, il s'y place à l’extrême gauche. il est élu membre de la commune, le 26 mars [[1871]]. Après la chute de la commune, il part en Angleterre, puis en Suisse. Pendant son séjour en Angleterre, il est délégué au congrès de l’internationale de la Haye ([[1872]]). Par la suite bien que condamné à mort, il bénéficie de l'amnistie générale du 21 juin [[1880]], puis rentre en France. Il collabore au journal «Ni dieu, ni maître » et dirige le journal socialiste de Lyon. | ||
==Source== | ==Source== | ||
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{{#display_points: Rue Frédéric Cournet, Rennes |width=450|zoom=14}} | |||
Rennes | |||
[[Catégorie:Voie de Rennes| | [[Catégorie:Voie de Rennes|Cournet]] |
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