« Rue Marçais Martin » : différence entre les versions

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La rue Marçais-Martin à été dénommée par délibération du conseil municipal du 29 Avril 1913, lors de la réalisation du quartier 8 : Sud-Gare de Villeneuve. Mais il est à noter que son prénom n'est pas indiqué car ce jour-là, la municipalité tenait également à rappeler le souvenir de son mari, ancien conseiller général et ancien adjoint au Maire.
La rue Marçais-Martin à été dénommée par délibération du conseil municipal du 29 Avril 1913, lors de la réalisation du quartier 8 : Sud-Gare de Villeneuve. Mais il est à noter que son prénom n'est pas indiqué car ce jour-là, la municipalité tenait également à rappeler le souvenir de son mari, ancien conseiller général et ancien adjoint au Maire.


== Biographie de Marçais-Martin, bienfaitrice des Crèches et des Hospices.<ref>à partir de la notice rédigée par Joël DAVID, chargé d'odonymie à la Ville de Rennes, Rennes Métropole</ref> ==
== Biographie de Marçais-Martin, bienfaitrice des Crèches et des Hospices.<ref>à partir de la notice rédigée par Joël DAVID, chargé d'odonymie à la Ville de Rennes, Rennes Métropole</ref> ==
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Aimée-Marie Marçais meurt le 1er mai 1911, à son domicile au 3, boulevard de la Tour d'Auvergne à Rennes, à l'âge de 92 ans. Elle lègue par testament mystique en date du 7 avril 1911, soit moins d'un mois avant son décès, à Albert Jouaust, colonel de génie en retraite, tous ses biens meubles et immeubles l'instituant son légataire universel. Elle lègue également à la Ville de Rennes, "la somme de 25 000 francs qui lui sera versée dans les six mois de son décès pour la création et l'aménagement d'une crèche rue de Nantes" et au bureau de Bienfaisance de Rennes, elle laisse la somme de 1 000 francs pour l'œuvre de la Maternité, Boulevard de la Tour d'Auvergne. De plus sa générosité ne s'arrête pas là, une somme de 25 000 francs devant aller "pour la fondation d'un lit pour un vieillard pauvre de la commune de Pacé" et 10 000 francs à placer en rentes sur l'Etat et arrérages à distribuer aux femmes sortant de la maternité.
Aimée-Marie Marçais meurt le 1er mai 1911, à son domicile au 3, boulevard de la Tour d'Auvergne à Rennes, à l'âge de 92 ans. Elle lègue par testament mystique en date du 7 avril 1911, soit moins d'un mois avant son décès, à Albert Jouaust, colonel de génie en retraite, tous ses biens meubles et immeubles l'instituant son légataire universel. Elle lègue également à la Ville de Rennes, "la somme de 25 000 francs qui lui sera versée dans les six mois de son décès pour la création et l'aménagement d'une crèche rue de Nantes" et au bureau de Bienfaisance de Rennes, elle laisse la somme de 1 000 francs pour l'œuvre de la Maternité, Boulevard de la Tour d'Auvergne. De plus sa générosité ne s'arrête pas là, une somme de 25 000 francs devant aller "pour la fondation d'un lit pour un vieillard pauvre de la commune de Pacé" et 10 000 francs à placer en rentes sur l'Etat et arrérages à distribuer aux femmes sortant de la maternité.


[[Catégorie:Voie de Rennes|M]]
[[Catégorie:Voie de Rennes|Marçais Martin]][[Catégorie:Voie portant un nom de femme|Marçais Martin]]


[[Catégorie:Voie portant un nom de femme|M]]
==Sur la carte==
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== Note et références ==  
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<references/>
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