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Menacée de disparition après 1950 avec la disparition progressive des basses-cours, elle est délaissée au profit de productions industrielles bon marché en provenance des souches anglaises ou américaines à croissance plus rapide, elle a été heureusement remise au goût du jour et des palais à partir de 1997 par une association d'éleveurs, présidée par Paul Renault, suscitée par l'Ecomusée à partir de 1990. Une croissance de 130 jours, 10 M2 de parcours herbeux par volaille, nourrie à 75% de céréales au minimum et "finie au petit lait", cela donne un poulet de 1,5 à 2,1 kg, à la chair succulente, au blanc moelleux avec un petit goût de noisette. On le trouve notamment aux [[halles centrales]] de Rennes, chez certains bouchers et dans des restaurants mettant en valeur les produits du terroir.<ref>[[Ouest-France]]- page Rennes. 22 décembre 2011</ref> | Menacée de disparition après 1950 avec la disparition progressive des basses-cours, elle est délaissée au profit de productions industrielles bon marché en provenance des souches anglaises ou américaines à croissance plus rapide, elle a été heureusement remise au goût du jour et des palais à partir de 1997 par une association d'éleveurs, présidée par Paul Renault, suscitée par l'Ecomusée à partir de 1990. Une croissance de 130 jours, 10 M2 de parcours herbeux par volaille, nourrie à 75% de céréales au minimum et "finie au petit lait", cela donne un poulet de 1,5 à 2,1 kg, à la chair succulente, au blanc moelleux avec un petit goût de noisette. On le trouve notamment aux [[halles centrales]] de Rennes, chez certains bouchers et dans des restaurants mettant en valeur les produits du terroir.<ref>[[Ouest-France]]- page Rennes. 22 décembre 2011</ref> | ||
Chaque année 20 000 poulets et chapons, 60% écoulés en vente directe et marchés, 40% par les volaillers et restaurateurs.<ref>Ouest-France - page Bretagne. | Chaque année 20 000 poulets et chapons, 60% écoulés en vente directe et marchés, 40% par les volaillers et restaurateurs.<ref>Ouest-France - page Bretagne. 20-21 décembre 2014</ref> | ||
Un coq Coucou de Rennes figure sur un timbre émis en juin 2012 par la Poste dans une série de dix sur "''La Bretagne que j'aime''".<ref>[http://www.slowfood.fr/france/upload/sentinelle-coucouderennes.pdf ''La volaille Coucou de Rennes''] (pdf), article paru sur le site de Slow Food France</ref> | Un coq Coucou de Rennes figure sur un timbre émis en juin 2012 par la Poste dans une série de dix sur "''La Bretagne que j'aime''".<ref>[http://www.slowfood.fr/france/upload/sentinelle-coucouderennes.pdf ''La volaille Coucou de Rennes''] (pdf), article paru sur le site de Slow Food France</ref> |
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