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Lors de la Seconde Guerre mondiale, Herbart, réformé, aide à l'organisation d'un comité formé pour des travaux de défense passive puis s’engage dans la Résistance, participant en 1943, sous le nom de "'''général Le Vigan'''", à la mise en place d’un réseau, dans le sud-ouest de la France, qui aide les jeunes à fuir le S.T.O  et, membre du réseau de Résistance "Défense de la France", il participe à la création du journal éponyme. À la suite de l'arrestation et de l'exécution du responsable pour le mouvement en Bretagne, [[Maurice Prestaut]], on le charge en 1944 de la direction régionale. Nommé vice-président du comité de [[Libération de Rennes]], il obtiendra des Américains la cessation de bombardements inutiles sur la ville, arrête les préfets de Vichy en place, installe les nouvelles autorités et est autorisé par [[Henri Fréville]] à publier le journal du soir ''Défense de la France'' qui ne sera ni gaulliste ni communiste. Par la suite il minimisera le rôle de la Résistance, "histoires de boy-scouts".
Lors de la Seconde Guerre mondiale, Herbart, réformé, aide à l'organisation d'un comité formé pour des travaux de défense passive puis s’engage dans la Résistance, participant en 1943, sous le nom de "'''général Le Vigan'''", à la mise en place d’un réseau, dans le sud-ouest de la France, qui aide les jeunes à fuir le S.T.O  et, membre du réseau de Résistance "Défense de la France", il participe à la création du journal éponyme. À la suite de l'arrestation et de l'exécution du responsable pour le mouvement en Bretagne, [[Maurice Prestaut]], on le charge en 1944 de la direction régionale. Nommé vice-président du comité de [[Libération de Rennes]]. En 1944, c'est au  Thabor, carré Du Guesclin, près de la statue du connétable, que depuis peu arrivé à Rennes, il rencontre incognito pour la deuxième fois le responsable de la résistance chargé de l'assister dans sa mission de chef de maquis pour la Bretagne. D'emblée, Le Vigan lui montre une carte et lui fait part de sa conviction concernant le lieu du débarquement et logiquement de la priorité de la libération de Rennes, après le port de Cherbourg. Le même témoin fait état de sa nomination comme vice-président du comité de libération de Rennes et de sa préoccupation personnelle d'éviter les exactions et autres règlements de compte une fois la ville libérée, outre sa mission officielle qui était de "coiffer sur le poteau" tant les Américains que les résistants communistes dans l'installation des autorités locales.<ref> Emission de France-Culture du 24 mai 2000, rediffusée le 11 septembre 2010</ref> Il  arrête les préfets de Vichy en place, installe les nouvelles autorités. Il est autorisé par [[Henri Fréville]] à publier le journal du soir ''Défense de la France'' qui ne sera ni gaulliste ni communiste. Par la suite il minimisera le rôle de la Résistance, "histoires de boy-scouts".


Albert Camus l’invite à participer à ''Combat''. En 1947, il est envoyé en Algérie pour un reportage sur le Maghreb dont le premier compte-rendu fait la une de ''France-Soir'' sous le titre ''S.O.S. Afrique du Nord'' mais le troisième volet ne sera pas publié.
Albert Camus l’invite à participer à ''Combat''. En 1947, il est envoyé en Algérie pour un reportage sur le Maghreb dont le premier compte-rendu fait la une de ''France-Soir'' sous le titre ''S.O.S. Afrique du Nord'' mais le troisième volet ne sera pas publié.
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