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En 1914, l'école déménage et quand éclate la première guerre mondiale elle est prise en charge par la Croix-Rouge Belge dont Antoine Depage est le président. Edith Cavell se trouve alors auprès de sa mère en Angleterre quand elle apprend l'invasion de la Belgique par l'Empire allemand et ne peut s'empêcher de rejoindre Bruxelles, le 3 août 1914. | En 1914, l'école déménage et quand éclate la première guerre mondiale elle est prise en charge par la Croix-Rouge Belge dont Antoine Depage est le président. Edith Cavell se trouve alors auprès de sa mère en Angleterre quand elle apprend l'invasion de la Belgique par l'Empire allemand et ne peut s'empêcher de rejoindre Bruxelles, le 3 août 1914. | ||
Très vite la clinique devient un centre d'accueil pour les soldats | Très vite la clinique devient un centre d'accueil pour les soldats belges, français et anglais où avec ses élèves, Edith Cavell les soigne bientôt rejoint par les blessés Allemands. Malgré une loi militaire imposée par l'occupant, de novembre 1914 à juillet 1915, Edith Cavell va aider des soldats alliés à s'évader vers les Pays-Bas, qui est alors un pays neutre. Malheureusement le service d'espionnage allemand a infiltré le réseau, le 31 juillet commencent les arrestations et le 5 août c'est autour d'Edith Cavell. Dans ce réseau on retrouve également l'espionne {{w|Louise de Bettignies}} qui va être arrêtée le 20 octobre 1915. | ||
Le procès a lieu le 7 et 8 octobre 1915. Edith admet ce qui lui est reproché et le 11 octobre le verdict tombe Edith Cavell et cinq autres accusés son condamnés à la peine de mort pour haute trahison. Le lendemain à 2 heures, Edith Cavell est la seule à se retrouver devant le peloton d'exécution. Refusant d'avoir les yeux bandés, elle s'évanouit à la vue des fusils. C'est donc une femme inanimée que va tuer le commandant du peloton d'exécution d'une balle dans la tête le | Le procès a lieu le 7 et 8 octobre 1915. Edith admet ce qui lui est reproché et le 11 octobre le verdict tombe Edith Cavell et cinq autres accusés son condamnés à la peine de mort pour haute trahison. Le lendemain à 2 heures, Edith Cavell est la seule à se retrouver devant le peloton d'exécution. Refusant d'avoir les yeux bandés, elle s'évanouit à la vue des fusils. C'est donc une femme inanimée que va tuer le commandant du peloton d'exécution d'une balle dans la tête le |
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