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[[Fichier:Pylone dynamité pendant la guerre.JPG]] | [[Fichier:Pylone dynamité pendant la guerre.JPG]] | ||
''Endroit du Pylône dynamité en haut du Chemin Vert.'' | |||
Chez nous, à la maison, nous possédons un poste radio, qui n'est pas caché, il est bien en vue sur une étagère. Pourtant il paraît qu’il faut les remettre à l’administration !? Enfin, il fonctionne très souvent. Trop souvent au gré de mon père qui rappelle que'' « l’électricité coûte cher et ainsi écouter la radio, la journée, est affaire de paresseux »''. Des chansons sont diffusées par Radio Paris, je les retiens facilement et les fredonne encore maintenant, jolies chansons. Elles sont souvent susurrées avec beaucoup de douceur. Je les entends encore, très apaisantes, Rina Ketty, Jean Sablon, Charles Trenet, Berthe Silva avec ses ''Roses Blanches'' et bien d’autres. Quand ma mère me chantait « Les Roses Blanches » chanson qu’elle aimait tant, je ne m’imaginais pas alors qu’elle disparaîtrait aussi comme dans la chanson peu de temps après, en 1946. Beaucoup de ces chansons, qu’on disait « réalistes » me transportent encore aujourd’hui dans ma douce enfance et font naître en moi une douce nostalgie. | Chez nous, à la maison, nous possédons un poste radio, qui n'est pas caché, il est bien en vue sur une étagère. Pourtant il paraît qu’il faut les remettre à l’administration !? Enfin, il fonctionne très souvent. Trop souvent au gré de mon père qui rappelle que'' « l’électricité coûte cher et ainsi écouter la radio, la journée, est affaire de paresseux »''. Des chansons sont diffusées par Radio Paris, je les retiens facilement et les fredonne encore maintenant, jolies chansons. Elles sont souvent susurrées avec beaucoup de douceur. Je les entends encore, très apaisantes, Rina Ketty, Jean Sablon, Charles Trenet, Berthe Silva avec ses ''Roses Blanches'' et bien d’autres. Quand ma mère me chantait « Les Roses Blanches » chanson qu’elle aimait tant, je ne m’imaginais pas alors qu’elle disparaîtrait aussi comme dans la chanson peu de temps après, en 1946. Beaucoup de ces chansons, qu’on disait « réalistes » me transportent encore aujourd’hui dans ma douce enfance et font naître en moi une douce nostalgie. |
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