« Steph Machin » : différence entre les versions

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'''Un nouvel EP (version "démo") "Instants" sort en septembre 2012''', pour lequel sTepH mAcHiN s'est entouré de musiciens (Sylvie Jourdan, Mathieu Roguez, Manou Fauny, Vincent Courtay et Ronan Bernier). En attendant l'album !
'''Un nouvel EP (version "démo") "Instants" sort en septembre 2012''', pour lequel sTepH mAcHiN s'est entouré de musiciens (Sylvie Jourdan, Mathieu Roguez, Manou Fauny, Vincent Courtay et Ronan Bernier). En attendant l'album !


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'''PLACE PUBLIQUE RENNES (Chronique EP "eNcOrE cOmBiEn ?" - Mars 2011)'''
PLACE PUBLIQUE RENNES (Chronique EP "eNcOrE cOmBiEn ?" - Mars 2011)'''


Cet EP est le premier projet solo de Steph Machin, qui avait navigué jusqu’ici de groupes rock en aventures électro. Pour un coup d’essai, c’est quasi un coup de maître. Seul avec ses guitares, ses claviers, ses samples et ses programmations, il propose avec Encore combien ? une balade sensible et écorchée en territoire électro-blues, de l ‘Arthur H et du Arno dans la voix, les fantômes bienveillants d’Higelin et de Bashung pour anges gardiens. Il y a pire compagnie, surtout quand on garde son libre arbitre par rapport à ces monstres sacrés. Superbement produits par Bruno Green, les six titres de l’opus, dont une reprise arrache-tripes des Petits papiers de Gainsbourg, vous hantent très vite, entre vocaux éraillés, phrasés de guingois, stridences électriques, boucles obsédantes. Scéniquement, voilà un répertoire qui touche sûrement à cœur. J.T.
Cet EP est le premier projet solo de Steph Machin, qui avait navigué jusqu’ici de groupes rock en aventures électro. Pour un coup d’essai, c’est quasi un coup de maître. Seul avec ses guitares, ses claviers, ses samples et ses programmations, il propose avec Encore combien ? une balade sensible et écorchée en territoire électro-blues, de l ‘Arthur H et du Arno dans la voix, les fantômes bienveillants d’Higelin et de Bashung pour anges gardiens. Il y a pire compagnie, surtout quand on garde son libre arbitre par rapport à ces monstres sacrés. Superbement produits par Bruno Green, les six titres de l’opus, dont une reprise arrache-tripes des Petits papiers de Gainsbourg, vous hantent très vite, entre vocaux éraillés, phrasés de guingois, stridences électriques, boucles obsédantes. Scéniquement, voilà un répertoire qui touche sûrement à cœur. J.T.
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