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[[Fichier:Association-Bel-Air-Bibliotheque-de-rue.jpg|300px|thumb|right|Bibliothèque de rue]] | [[Fichier:Association-Bel-Air-Bibliotheque-de-rue.jpg|300px|thumb|right|Bibliothèque de rue]] | ||
On ne voyait encore ici que des champs et quelques maisons | On ne voyait encore ici que des champs et quelques maisons dans les années 1930. Après 1945, s’ouvre une période de reconstruction qui voit le développement des « cités Jardins ». Des bâtiments collectifs au milieu d'espaces verts, des pavillons avec des jardinets, qui abritent une population ouvrière dont beaucoup de cheminots. | ||
Cette cité, aménagée à partir de 1956 par la coopérative Régionale de construction H.L.M., rayonne autour d’une place, transformée en jardin public et occupée par l’Espace Fernand-Jacq. L'ensemble est formé de 3 immeubles et de 70 logements individuels disposant de jardins en fond de parcelles. | Cette cité, aménagée à partir de 1956 par la coopérative Régionale de construction H.L.M., rayonne autour d’une place, transformée en jardin public et occupée par l’Espace Fernand-Jacq. L'ensemble est formé de 3 immeubles et de 70 logements individuels disposant de jardins en fond de parcelles. | ||
Les noms des places et des rues font écho aux figures locales ou nationales de la résistance au nazisme : | Les noms des places et des rues font écho aux figures locales ou nationales de la résistance au nazisme : le docteur [[Fernand Jacq]], ancien étudiant à la faculté de médecine de Rennes, fusillé en 1941. Son nom a été donné à l’Espace qui héberge l’association Bel Air qui anime le quartier. Autre symbole de convivialité, la Bibliothèque de Rue, ouverte à tous et à toute heure, est fondée sur l’échange réciproque des ouvrages que l’on peut y trouver. | ||
==Sur la carte== | ==Sur la carte== |
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