« Rue Geneviève d'Haucourt » : différence entre les versions

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== Biographie de Geneviève d’Haucourt, avocate humaniste<ref>à partir de la notice rédigée par Joël DAVID, chargé d'odonymie à la Ville de Rennes, Rennes Métropole</ref> ==
== Biographie de Geneviève d’Haucourt, avocate humaniste<ref>à partir de la notice rédigée par Joël DAVID, chargé d'odonymie à la Ville de Rennes, Rennes Métropole</ref> ==
   
   
Geneviève, Marie Gabrielle d’Haucourt est née le 3 Décembre 1904, à Bressuire dans les Deux-Sèvres (79), d'un père juge au Tribunal civil.
Geneviève, Marie Gabrielle d’Haucourt est née le 3 décembre 1904, à Bressuire dans les Deux-Sèvres (79), d'un père juge au tribunal civil.


Elle fait ses études à l’époque où les femmes étaient assez rares dans le milieu universitaire. Après avoir réussi brillamment une licence en droit à Rennes, elle sort seconde de la prestigieuse École des Chartes. Elle est la première femme avocate de Rennes.
Elle fait ses études à l’époque où les femmes étaient assez rares dans le milieu universitaire. Après avoir réussi brillamment une licence en droit à Rennes, elle sort seconde de la prestigieuse École des Chartes. Elle est la première femme avocate de Rennes.


Sous prétexte qu’elle est une femme, on lui refuse, dans les années 30, un poste d’archiviste, malgré à l’époque des diplômes très rares pour une femme.
Sous prétexte qu’elle est une femme, on lui refuse, dans les années 1930, un poste d’archiviste, malgré à l’époque des diplômes très rares pour une femme.


En octobre 1939, elle s’installe à Brest en tant que bibliothécaire.
En octobre 1939, elle s’installe à Brest en tant que bibliothécaire.
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En 1967, elle est accueillie à la Maison Blanche par le Président Lundon Baines Johnson.
En 1967, elle est accueillie à la Maison Blanche par le Président Lundon Baines Johnson.


Dans les années 70, elle rentre à Rennes et décide de s’investir dans le milieu associatif. Elle fonde alors deux associations : « Les Amis des réfugiés » et « Les Amis de Fianarantsoa ».
Dans les années 1970, elle rentre à Rennes et décide de s’investir dans le milieu associatif. Elle fonde alors deux associations : « Les Amis des réfugiés » et « Les Amis de Fianarantsoa ».


Pour permettre de suivre des études, elle parraine de jeunes Camerounais.
Pour permettre de suivre des études, elle parraine de jeunes Camerounais.
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