Avenue de Cucillé

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L'avenue de Cucillé est une rue qui s'étend au nord de Rennes entre l'avenue du Bois Labbé à l'ouest et l'avenue André Mussat et l'avenue de la Préfecture à l'est. En effet, comme l'avenue Charles Tillon au sud, elle longe par le nord un site entièrement dédié, depuis les années 1980, à des administrations et institutions, dont le conseil général, la préfecture.

Sa rive nord a été vouée à un ensemble d'immeubles et à des commerces réunis autour de la place Eugène Aulnette, ainsi qu'à son extrémité est aux Archives départementales d'Ille-et-Vilaine. Franchis ces alignements d'immeubles et à une centaine de mètres encore au nord, de même orientation et longueur, s'étendent les différents espaces du parc de Beauregard. Comme lui encore, l'avenue présente une pente descendante dans le sens ouest-est. Les aménageurs ont pris soin de conserver, entre l'avenue et le parc, quelques éléments du passé champêtre de la zone, des chênes de talus, vestiges de bosquets et des parties de chemin.

Histoire

La voie a été nommée par délibération du conseil municipal de la ville de Rennes du 16 décembre 1974, d'après un lieu-dit préexistant à l'urbanisation du secteur et ses déclinaisons : Le Haut Cucillé ; Le Bas Cucillé ; Cucillé-le-Rouge. Une ferme dite de Cucillé-le-Rouge y a été rasée en 1988[1].

Voirie et circulation

L'avenue étant de création récente, le bâti a été édifié au nord en laissant des espaces conséquents pour la circulation des piétons et cyclistes, tandis qu'au sud, ce sont des pelouses ou des parcs de stationnement que le public longe. Les lignes de bus qui y passent comportent un arrêt à chaque extrémité (arrêt Olympe de Gouges et arrêt Préfecture) et un au milieu au niveau du secteur commercial (arrêt Cucillé).

Sur la carte

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Notes et références

  1. Courrier des lecteurs de Ouest-France, date inconnue (autour de 1990 ?) : outre une photo des bâtiments de la ferme (vue d'hélicoptère), cette rubrique Forum comporte un court plaidoyer de Madame Odile Pierre, au moment de la construction des premiers immeubles de Beauregard, en vue d'"un petit effort de souvenir" de ce passé campagnard.